Avant de lancer cette Opération, nous ne comprenions pas ceux qui disaient que la situation est pire que pendant la guerre. En allant sur place, nous avons compris: en quelques secondes, des milliers de logements ont été dévastés et les gens ont frappés au coeur de leur vie, partout!
La situation: plus de travail, plus de liquidités, rares remboursements des frais
médicaux, pas d’allocations chômage, salaires divisés par 2, 3 ou 4 en raison
de la crise.
La plupart des quartiers chrétiens de Beyrouth à retaper,
reconstruire, réhabiliter…
Les besoins les plus urgents: fermer les fenêtres avant l’hiver, alimentation, frais de scolarité des enfants, médicaments, etc…
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